3 juillet 2025
Temps de lecture : 2 min
A peine ouverts, voilà que Monsieur Claude et Madame Soleil s’inscrivent d’ores et déjà comme de nouveaux terrains de jeu pour des expériences immersives où la mise en scène rivalise avec l’art de recevoir. Chez Monsieur Claude tout d’abord, Danny Khezzar, révélé par Top Chef, revisite le bistrot en version suspendue, perché à 14 mètres de hauteur. Une adresse pensée comme un théâtre culinaire où chaque détail, du mobilier jusqu’à la carte, joue sa partition. Avec ses salons miroirs, ses alcôves feutrées et son piano bar, le lieu s’adresse aux convives à la recherche d’un dîner d’exception autant qu’aux entreprises en quête de nouveauté (accueil des groupes à partir de 15 personnes). La possibilité d’un double service le soir, associée à une ambiance musicale, renforce la vocation événementielle du restaurant, prêt à accueillir différents formats événementiels.
Quelques marches ou un ascenseur plus loin, Madame Soleil s’ouvre sur un rooftop végétalisé aux accents californiens. Parasols en toile rayée, fauteuils en rotin, vue dégagée sur la verdure, ici l’esprit Palm Springs devient un cadre pour les réceptions en plein air, les cocktails dînatoires ou les soirées d’entreprise à ciel ouvert. Là encore, l’espace joue la modularité et la souplesse. On y imagine aisément une centaine de convives dans une atmosphère décontractée, avec une offre bar bien pensée et des formules adaptées aux formats professionnels. L’happy hour proposé avant 19 heures, avec des cocktails à moitié prix, témoigne d’une stratégie assumée d’animation des débuts de soirée.
Ce diptyque architectural, entre gastronomie d’auteur et convivialité en hauteur, forme une proposition redoutablement efficace pour les entreprises et les agences événementielles en quête de nouveaux lieux. Ici, tout est calibré pour raconter une histoire et faire vivre une expérience. Le duo Monsieur Claude / Madame Soleil s’inscrit donc dans une tendance montante de l’événementiel avec une approche moins institutionnelle, plus sensorielle et plus scénographiée. Pour le groupe Bistrots Pas Parisiens, ces deux ouvertures marquent par ailleurs une nouvelle étape dans leur capacité à jouer la carte du lieu événementiel signature, conçu dès l’origine pour répondre à des attentes de scénarisation, de modularité et de privatisation. On est ici sur une montée en puissance dans la diversification des usages et dans la valorisation du lieu comme outil de narration, des éléments forts bien appréhendés par le journaliste et animateur de Top Chef, Stéphane Rotenberg, également associé du groupe Bistrots Pas Parisiens.
Des Bistrots Pas Parisiens mais privatisables :
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